Le jeu d’une lettre fidèle le soir
Pour un corps affirmé au bon moment
C’est le prestige des actes distribués
Le rythme des palmes bipartites
Et des couronnes monotones
D’un objet conscient allumé dans une maison
Ancienne
Son doigt fin heureux innocent
Sa tempe bruyante ignorante
Vivante
Le besoin de perdre des mains
Le besoin d’éclairer des yeux bourdonnants
Image involontaire qui se forme
Les promesses de tous les instruments aristés
Ni les rires inscrits ni les odeurs en équilibre
Ne cherchent les empreintes des cloches difformes
Mille némésies laciniées qu’elle multiplie
Pour le seul espoir d’allumer un iris rajeuni
Les vents dociles qui s’endorment dans ses cheveux
Le temps de l’enfance détruit de gel fécondant
Et les tendres vertus qui peupleront ses lendemains
…………
amélie
…………
Pour un corps affirmé au bon moment
C’est le prestige des actes distribués
Le rythme des palmes bipartites
Et des couronnes monotones
D’un objet conscient allumé dans une maison
Ancienne
Son doigt fin heureux innocent
Sa tempe bruyante ignorante
Vivante
Le besoin de perdre des mains
Le besoin d’éclairer des yeux bourdonnants
Image involontaire qui se forme
Les promesses de tous les instruments aristés
Ni les rires inscrits ni les odeurs en équilibre
Ne cherchent les empreintes des cloches difformes
Mille némésies laciniées qu’elle multiplie
Pour le seul espoir d’allumer un iris rajeuni
Les vents dociles qui s’endorment dans ses cheveux
Le temps de l’enfance détruit de gel fécondant
Et les tendres vertus qui peupleront ses lendemains
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amélie
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