À l’ombre de ses joues tranquilles
Entre mer et vie enlacées
À elle la jeunesse passionnément
Au seuil d’une tempête de silence
Un espoir vif
Loin des pierres droites
Des plumes impalpables
De son lit chaud
Plus légère qu’une vigne irisée
Sans songer aux caresses lointaines
Des deux saisons passées
D’un frisson à l’autre
Seins et fruits liés
Guirlande de soie et d’orange
Un bain dans la mer morte
Et la vague mûre
Prend la forme de sa mémoire
……………………
d’un bout à l’autre
d’un rêve immobile
……………………
Nous aimons les puzzles Sindbad
samedi 22 septembre 2007
samedi 15 septembre 2007
Sa chemise blanche
Vêtue d’étincelles de cette lueur
Belle et brave au bouquet de lys
Visage oublié et chemise délivrée
Tempes brûlantes à midi
Le vie comme une sève
Mousse et vague ardentes au dessus d’un sein
Nappée d’une herbe glacée
Lissant une chemise découpée
Oubliez les pierres alignées
Son puits infini
Son lit vide
Devant moi cette rivière de bonté
Chaque nuit plus vive
Sans caresses sans dentelles
Sans frisson attendant le plaisir incertain
Nourrie de souvenirs effacés
Là où se trouve une croix
Au bord des paupières
Là où le ciel s’arrête
Au bord de mille icônes
…………………..
enfin
colorées
…………………….
Belle et brave au bouquet de lys
Visage oublié et chemise délivrée
Tempes brûlantes à midi
Le vie comme une sève
Mousse et vague ardentes au dessus d’un sein
Nappée d’une herbe glacée
Lissant une chemise découpée
Oubliez les pierres alignées
Son puits infini
Son lit vide
Devant moi cette rivière de bonté
Chaque nuit plus vive
Sans caresses sans dentelles
Sans frisson attendant le plaisir incertain
Nourrie de souvenirs effacés
Là où se trouve une croix
Au bord des paupières
Là où le ciel s’arrête
Au bord de mille icônes
…………………..
enfin
colorées
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samedi 8 septembre 2007
Armelle à Carnac
Pour un bouquet de lys
Pour un corset de cire
J’ai tendu les doigts sur sa chair
Parsemée de mille pistils
Sur un pied de danse
Entre deux lumières
Éclat de feu à chaque foulée
Promenade sur sa poitrine
Et sur une voix de lait
Entre deux sourires de laurier
Elle brise les séraphins d’une étole
Pour découvrir l’éclat de son auréole
Miettes de joies sur une moisson
D’ariettes oubliées
Une saison comme un livre visible
Une saison comme une encre paisible
……………………………………………….
qu’elle m’offre sans partage
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Pour un corset de cire
J’ai tendu les doigts sur sa chair
Parsemée de mille pistils
Sur un pied de danse
Entre deux lumières
Éclat de feu à chaque foulée
Promenade sur sa poitrine
Et sur une voix de lait
Entre deux sourires de laurier
Elle brise les séraphins d’une étole
Pour découvrir l’éclat de son auréole
Miettes de joies sur une moisson
D’ariettes oubliées
Une saison comme un livre visible
Une saison comme une encre paisible
Toute cette vague de fraîcheur
……………………………………………….
qu’elle m’offre sans partage
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