Pour un corset de cire
J’ai tendu les doigts sur sa chair
Parsemée de mille pistils
Sur un pied de danse
Entre deux lumières
Éclat de feu à chaque foulée
Promenade sur sa poitrine
Et sur une voix de lait
Entre deux sourires de laurier
Elle brise les séraphins d’une étole
Pour découvrir l’éclat de son auréole
Miettes de joies sur une moisson
D’ariettes oubliées
Une saison comme un livre visible
Une saison comme une encre paisible
Toute cette vague de fraîcheur
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qu’elle m’offre sans partage
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