À l’ombre de ses joues tranquilles
Entre mer et vie enlacées
À elle la jeunesse passionnément
Au seuil d’une tempête de silence
Un espoir vif
Loin des pierres droites
Des plumes impalpables
De son lit chaud
Plus légère qu’une vigne irisée
Sans songer aux caresses lointaines
Des deux saisons passées
D’un frisson à l’autre
Seins et fruits liés
Guirlande de soie et d’orange
Un bain dans la mer morte
Et la vague mûre
Prend la forme de sa mémoire
……………………
d’un bout à l’autre
d’un rêve immobile
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