Corps illisible dans un monotone jour
De secret en secret dans une lumière légère
Corps par petits pas à la grâce étrangère
À l’âge incertain
Au monde arrêté
Chair utile surgie d’un soir
Douceur d’un bras secoué pressé
Passé d’une ombre à l’autre
Mais seule sa vie compte
Parure de pâquerettes chargée de terre
Le jour de l’indifférence exacte
Le jour d’un frisson amer
Aimer à grelotter
Au seul bonheur d’une présence
……………………………….
qu’elle partage
jusque dans mon rêve
……………………………….
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire