L’éclat d’un sourire en myrtille qui tache mon doigt
S’évanouit parmi des odeurs d’acajou
Fondues sur une coquille de papier
Et c’est le temps qui s’ouvre sur sa chair légère
Et c’est la poudre chaude avant un bain de roses
Un rideau d’azur un îlot d’étain
Un navire sur un cheveu qui retrouve son éclair
Et qui va de ruche en ruche découper un fruit
Loin des cendres
Ravagées de feuilles émiettées
Loin des lampes
Coiffées de foudre délicate
et le sang sur son visage
et la glace sur mes yeux
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ravivent tout
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