les pierres s'affolent
dans sa poitrine
et plus rien ne la retient
sang aux joues
l'océan se dissipe
dans sa poitrine
aube éternelle
hermine aux yeux
elle cache le sable
infiniment attentive
aux lueurs inutiles
sa vie seule m'intéresse
survivre à l'absence
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une femme s'en va
et rien n'est perdu
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