Cachée sous un tourbillon de coton
Tombée dans ce crépuscule cristallin
Sous une ondée de sable
Au goût d’un genêt glacé
Tu te pares de vives fougères
En cherchant le vide de la nuit
Comme un objet sans odeur
Parfumée de lavande ardente
Avec ce laurier qui t’accompagne
Me trouves-tu si inexistant
Toi aux couleurs de mille hirondelles
Aux couleurs d’immortelles icônes
D’immatérielles cyclamens
Qui tapissent ta crypte
Et ta présence sur ces arbres
Qui s’irisent de spirées desséchées
Sur ces chemins aux couleurs de juin
Partout
………………………
comme un
passage vers
l’éternité
………………………
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