Noyée dans un marc de café
Si forte dans son vêtement d’orange
Elle se prélasse dans une cire de marne
Le corps trempé dans un vin doux
Elle délaisse un sein nu
Aux seuls oiseaux persans
Qui peuplent son allée
Perdue dans le nord
Je vois une vallée
Un nuage des amants
Une haie des flammes
Une maison sans rires
Treize petits soupirs
un ennui
un enfer
un départ
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