Jour de cire jour de grande caresse
Tige solitaire fardée de poussière ocre
Même les animaux immatériels luttent
Pour la cendre des bateaux
Parmi les branches aux fourmis dégagées
L’horizon incertain disperse des larmes brunes
Voici le dernier jour bavard qui se voile
Au milieu des plaintes des coqs au cou de cristal
Dorénavant
Tout nous mène aux longues soirées ternes
Absence des îlots aux échos dérangés
Tout ce que j’ai dit est ici
Face aux pistils meurtris de ronces
Face aux sanglots répétés des merles
Dans tout ce qui reste des rêves
de ce pays pour iris
comme emblème
………………..
à bien chercher
c’est un jour à
l’odeur de pierres
…………………
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