Beffroi pareil à du satin figé
Que personne ne brûle le soir tombé
Fenêtre saupoudrée de plumes au repos
Gémissante à la ruelle violette
Port fiévreux séparé de la terre
Des îles trempées de mousse brisée
Et cette sérénité absolue d’une rive ambrée
Autour de son bracelet interminable
Elle s’était levée à rebours
Étincelante de coquelicots mous
Au loin ses yeux noyés de mer
Où j’ai vu naître une forêt de cyprès
d’une femme
sans âge
……………..
soizic à rovinj
en istrie
un matin
………………
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